Je crois que...
Trop souvent, que ce soit dans un cadre professionnel ou dans la vie de tous les jours, dans les repas de famille ou entre amis, j’entends « Je ne sais pas… Je crois que… Peut-être ».
Ces incertitudes, ces suppositions, ces présomptions, ces supputations sont trop souvent à l’origine de beaucoup de problèmes. On sait ou on ne sait pas. Et si on ne sait pas on va chercher l’information. Car trop souvent sont les projet où on réinvente la roue, on perd du temps à repenser ce qui a déjà été décidé. Combien d heures perdues par semaine à supputer, essayer de tourner en rond un sujet sur lequel on aura pas la réponse, à se baser sur des suppositions....
Dans le cadre de professionnel, quand on débute un projet, il est important de savoir :
– ce qui a été vendu,
– ce qu’il est attendu de nous,
– de savoir combien de temps on a pour réaliser les tâches,
– le périmètre, les actions à réaliser…
Trop souvent les collaborateurs et collaboratrices se lancent dans un projet sans se poser ces questions, sans avoir ses informations. Ils se basent alors sur ce qu’ils croient savoir, ont entendu, supposent...
Une des règles que j’applique dans le cas de
dans les cas de mes bonnes pratiques de management et gestion d’équipe est d’expliquer que On a PARFAITEMENT le droit de ne pas savoir... mais on va alors chercher l’information là où elle est.
Un chef de projet par définition gère plein de projets et de collaborateurs.trices. Être proactif, c’est demander au chef de projet de nous fournir les informations quand on ne les a pas.
On pourrait élargir cela au domaine des réseaux sociaux, aux bulles de filtres que ces derniers engendrent, à la propagation des fakes news, au fait que l’on prend tout pour acquis et pour vrai. Il est difficile de tout vérifier, mais il ne faut pas en perdre son esprit critique...Et ceci explique peut être cela...