Netflix - Love death robots

, par  Genma , popularité : 2%

Présentation

Avec Love, Death & Robots, David Fincher (Mindhunter, Fight Club, Gone Girl) et Tim Miller vont proposer plusieurs histoires courtes avec des genres (science-fiction, fantastique, horreur ou encore comédie) et des animations (2D traditionnel au CGI 3D photoréaliste) totalement différents selon les épisodes grâce à plusieurs équipes de cinéastes venus du monde entier. Destinée avant tout à un public adulte, la première saison de la série d’animation d’anthologie proposera pas moins de 18 épisodes, allant de 5 à 15 minutes (185 minutes au total).

Source : Begeek.fr

La critique de Genma

Le souvenir que j’ai de cette série de mini films d’animation est très positif, et ce plusieurs jours après le visionnage, en plusieurs fois. Du coup je me dis qu’il faut que je rédige une petite bafouille pour en parler et la recommander.

Tout d’abord, l’aspect technique. Mes premiers contacts avec des personnages 3D virtuels remonte à la prouesse technologique qu’étaient les film d’animation Final Fantasy les créatures de l’esprit, le film Pôle Express ou encore Beowulf. Il n’y a pas à dire la technologie a beaucoup progressé depuis !!! (Et oui j’ai quand même suivi les technologies avec les différents films parus depuis, je n’ai pas vécu dans un grotte). Dans plusieurs des épisodes de cette série, je me posé la question de est-ce de la 3D pure ou des captations de personnes retouchées pour donner un aspect plus lissé, plus 3D cohérent avec les effets de lumière des décors, un aspect mieux intégré, moins "filmé sur fond vert" du fait que les décors étaient vraiment des environnements virtuels. Pour les épisodes réalisés en animation plus traditionnelle (du dessin animé), là encore, la qualité était au rendez-vous. Je ne suis pas un spécialiste et un critique cinéma, je dis juste que pour l’amateur éclairé que je suis, la réalisation et l’image sont de qualité.

Recommandé 18+ pour cause de certaines scènes assez explicites dans la violence ou dans le sexe, ce n’est pas si violent ou si explicite et cela sert toujours le propos de l’épisode, ce n’est jamais gratuit, aguicheur ou malvenu. Et cela concerne très peu d’épisodes sur l’ensemble que comporte la série.

Scénario et écriture maintenant. Il y a des choses convenues auxquelles on peut s’attendre et quelques bonnes trouvailles. Chaque épisode apporte son petit truc, son petit élément qui m’ont fait me dire "J’ai bien aimé cet épisode ci" à chaque fin d’épisode. Pas un épisode que j’ai moins aimé, trouvé banal.

Et pour certains, j’ai beaucoup aimé les moments de poésie montrés à l’écran.

Chaque épisode est indépendant, ce qui est pratique pour regarder en plusieurs fois, comme un petit plaisir court, comme une boîte de chocolat dont on mange quelques chocolats sur plusieurs jours, ou au contraire, en les regardant tous à la suite, se faisant une orgie de plaisir pour les yeux et les neurones.

Bref vous aurez compris que j’ai beaucoup apprécié cette série. A voir. Et si vous ne voulez pas vous abonnez à Netflix, le premier mois d’essai est gratuit. Pratique et aucune raison du coup de manquer cette série.